Définitions : Argumentation
L’apologue : C'est un court récit, souvent allégorique, qui comporte une morale. Il peut être écrit en vers ou en prose. Son but est de changer nos attitudes/opinions envers notre société. Plus largement, le terme peut faire référence à toute fiction ayant une visée argumentative aboutissant à une morale.
Allégorie : Description d'une réalité abstraite sous une forme concrète. Elle pourrait prendre aussi bien la forme d'un récit que d'une iconographie.
Rhétorique : elle rassemble toutes les techniques réglant l'art de s'exprimer, de persuader par le discours.
Le conte philosophique : Le conte philosophique sert à rendre une réflexion souvent lourde attrayante. Les personnages et événements qui reflètent cette pensée la rendant agréable et plus accessible. Ainsi, il sert à critiquer et à convaincre sous l'apparence de la naïveté. Cette forme d'écrit est une sous-catégorie du conte et fait partie des apologues.
Il est né au XVIIIe siècle et sa force tient dans le fait qu'aux caractéristiques typiques du conte sont mélangées des réflexions philosophiques.
Ainsi il comprend un récit fictif amusant qui comporte toutes les caractéristiques classiques du compte (situation initiale, péripéties, situation finale,... ainsi que des personnages stéréotypés, de l'exotisme et autres), mais également une leçon, morale qui peut être aussi bien explicite qu'implicite. Enfin, il procède à un mélange des registres, alliant humour et didactique et faisant ainsi appel à la fois à l'imaginaire et au rationnel.
L’essai : « En littérature, un essai est une œuvre de réflexion débattant d'un sujet donné selon le point de vue de l’auteur. L’essai peut être polémique ou partisan. C’est un genre littéraire qui se prête bien à la réflexion philosophique, mais il y a également des essais dans d’autres domaines : essais historiques, essais scientifiques, essais politiques, etc. L’auteur d’un essai est appelé essayiste ».
(Cette définition est issue du site « Monde de plumes » : http://mondeplumes.forumactif.org/t54-qu-est-ce-qu-un-essai).
La fable : La fable, du latin « Fabula » qui signifie « fiction » désigne un genre littéraire qui prend la forme d’un court récit terminé par une moralité. Le texte peut être écrit en vers ou en prose.
« La fable met souvent en scène des animaux symbolisant le monde des Hommes et des situations exemplaires. Le récit invite à procéder par induction : passer du cas particulier à une réflexion générale.
Un art de la séduction : la fable est un discours argumentatif fondé sur la persuasion. Il s'agit d'entraîner l'adhésion du lecteur par le récit (l'humour ou l'émotion, la diversité et le plaisir même de son écriture poétique) plutôt que par le raisonnement logique pouvant être compliqué et rébarbatif.
La morale, fait appel au bon sens du lecteur. Il ne s'agit pas d'inculquer des règles de conduites mais d'inspirer au lecteur une attitude sage et raisonnée. Cependant elle peut aussi avoir une dimension critique que la moralité n'explicite pas (certaines fables de La Fontaine sont des critiques à peine voilées de la monarchie : critique de l'arbitraire royal ou des fastes de la cour) ».
(Cette définition est issue de l'article « apologue »du site suivant : http://www.bacdefrancais.net/apologue.php).
Le thème de l’oppression lié aux fables :
Oppression = pression exercée par les puissants sur les plus faibles.
Celle-ci peut être plus implicite dans certaines fables que dans d'autres. Par exemple, dans Le Pouvoir des fables, elle est diluée.
L’Encyclopédie de Diderot (et de plusieurs autres philosophes des Lumières) : elle visait à faire la somme des connaissances disponibles en s'appuyant sur la raison, l'esprit d'examen. Cela relevait d'une préoccupation forte des Lumières qui était de rendre le savoir et la connaissance accessibles à tous.
Le « mythe du bon sauvage » : Concept typique des Lumières, il apparait avec la question de bonheur (Que peut-on faire pour vivre heureux ensemble? Ainsi, on s’adonne à l’étude des autres civilisations. Le « mythe du bon sauvage » part de l’idée que ceux qui sont considérés comme « sauvages », sont plus heureux qu’eux, qui vivent sous le joug de la civilisation occidentale. Ce thème est typique des Lumières, néanmoins Voltaire a une vision différente de Rousseau, il critique sa nostalgie d’un état sauvage qui lui paraît contraire au progrès humain.
Processus d’inversion des regards : on donne la parole à celui qui ne l’a pas d’habitude. Il s'agit souvent d'une victime ou tout simplement du camp adverse.
Ex : - Supplément au voyage de Bougainville.
S'il vous plait, si vous pouviez cliquer sur la case « J'aime de Facebook », j'apprécierais beaucoup, ça permettrait de faire connaître mon site. Également, si vous voulez le conseiller à vos camarades de première n'hésitez pas.
Allégorie : Description d'une réalité abstraite sous une forme concrète. Elle pourrait prendre aussi bien la forme d'un récit que d'une iconographie.
Rhétorique : elle rassemble toutes les techniques réglant l'art de s'exprimer, de persuader par le discours.
Le conte philosophique : Le conte philosophique sert à rendre une réflexion souvent lourde attrayante. Les personnages et événements qui reflètent cette pensée la rendant agréable et plus accessible. Ainsi, il sert à critiquer et à convaincre sous l'apparence de la naïveté. Cette forme d'écrit est une sous-catégorie du conte et fait partie des apologues.
Il est né au XVIIIe siècle et sa force tient dans le fait qu'aux caractéristiques typiques du conte sont mélangées des réflexions philosophiques.
Ainsi il comprend un récit fictif amusant qui comporte toutes les caractéristiques classiques du compte (situation initiale, péripéties, situation finale,... ainsi que des personnages stéréotypés, de l'exotisme et autres), mais également une leçon, morale qui peut être aussi bien explicite qu'implicite. Enfin, il procède à un mélange des registres, alliant humour et didactique et faisant ainsi appel à la fois à l'imaginaire et au rationnel.
L’essai : « En littérature, un essai est une œuvre de réflexion débattant d'un sujet donné selon le point de vue de l’auteur. L’essai peut être polémique ou partisan. C’est un genre littéraire qui se prête bien à la réflexion philosophique, mais il y a également des essais dans d’autres domaines : essais historiques, essais scientifiques, essais politiques, etc. L’auteur d’un essai est appelé essayiste ».
(Cette définition est issue du site « Monde de plumes » : http://mondeplumes.forumactif.org/t54-qu-est-ce-qu-un-essai).
La fable : La fable, du latin « Fabula » qui signifie « fiction » désigne un genre littéraire qui prend la forme d’un court récit terminé par une moralité. Le texte peut être écrit en vers ou en prose.
« La fable met souvent en scène des animaux symbolisant le monde des Hommes et des situations exemplaires. Le récit invite à procéder par induction : passer du cas particulier à une réflexion générale.
Un art de la séduction : la fable est un discours argumentatif fondé sur la persuasion. Il s'agit d'entraîner l'adhésion du lecteur par le récit (l'humour ou l'émotion, la diversité et le plaisir même de son écriture poétique) plutôt que par le raisonnement logique pouvant être compliqué et rébarbatif.
La morale, fait appel au bon sens du lecteur. Il ne s'agit pas d'inculquer des règles de conduites mais d'inspirer au lecteur une attitude sage et raisonnée. Cependant elle peut aussi avoir une dimension critique que la moralité n'explicite pas (certaines fables de La Fontaine sont des critiques à peine voilées de la monarchie : critique de l'arbitraire royal ou des fastes de la cour) ».
(Cette définition est issue de l'article « apologue »du site suivant : http://www.bacdefrancais.net/apologue.php).
Le thème de l’oppression lié aux fables :
Oppression = pression exercée par les puissants sur les plus faibles.
Celle-ci peut être plus implicite dans certaines fables que dans d'autres. Par exemple, dans Le Pouvoir des fables, elle est diluée.
L’Encyclopédie de Diderot (et de plusieurs autres philosophes des Lumières) : elle visait à faire la somme des connaissances disponibles en s'appuyant sur la raison, l'esprit d'examen. Cela relevait d'une préoccupation forte des Lumières qui était de rendre le savoir et la connaissance accessibles à tous.
Le « mythe du bon sauvage » : Concept typique des Lumières, il apparait avec la question de bonheur (Que peut-on faire pour vivre heureux ensemble? Ainsi, on s’adonne à l’étude des autres civilisations. Le « mythe du bon sauvage » part de l’idée que ceux qui sont considérés comme « sauvages », sont plus heureux qu’eux, qui vivent sous le joug de la civilisation occidentale. Ce thème est typique des Lumières, néanmoins Voltaire a une vision différente de Rousseau, il critique sa nostalgie d’un état sauvage qui lui paraît contraire au progrès humain.
Processus d’inversion des regards : on donne la parole à celui qui ne l’a pas d’habitude. Il s'agit souvent d'une victime ou tout simplement du camp adverse.
Ex : - Supplément au voyage de Bougainville.
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